Avec une vitesse moyenne de 19 km/h en milieu urbain, le vélo à assistance électrique est l’un des moyens de transport les plus rapides. Bouchons, problèmes de stationnement, grèves et mouvements sociaux ne deviennent qu’un lointain souvenir. Vous sillonnez la ville avec aisance, au gré des aménagements cyclables qui jaillissent comme les fleurs au printemps. Vos temps de trajets deviennent prédictibles, vous redécouvrez la ponctualité.

Une pratique régulière du vélo entre le domicile et le travail permet à chaque employé d’effectuer facilement une activité physique.
Trente minutes de vélo par jour (soit un aller/retour de 10 kms) limitent considérablement le risque de maladie cardio-vasculaire, d’ostéoporose, de diabète, de cancer et de dépression. La perte de poids est facilitée.
En facilitant le pédalage, le vélo à assistance électrique est accessible à tous. Il permet à chacun de se remettre en selle, de pratiquer une activité sportive bénéfique pour la santé tout en évitant les inconvénients du vélo classique, comme la transpiration excessive par temps chaud, qui peuvent être des freins à l’utilisation du vélo dans un cadre professionnel.

L’impact de la mobilité sur la Qualité de Vie au Travail est indéniable. La dégradation des conditions de transport entraine stress et perte de temps pour les salariés.
On devine a son sourire et a son teint éclatant lequel de ses employés est venu à vélo. Il n’a pas les yeux vitreux de l’automobiliste excédé ou l’air résigné de l’usager des transports.
Celle ou celui qui « navette » pour se rendre au travail reprend le contrôle de ses déplacements et de son temps. Il est en forme, serein,…et se révèle performant au travail.

En europe, la pollution de l’air est le premier risque environnemental, avec environ 400000 décès prématurés par an. Il est urgent de rendre nos villes plus respirables et moins congestionnées. Le vélo à assistance électrique n’émet pas de CO2 ni de particules fines.
La puissance publique l’a bien reconnu et encourage désormais le vélo comme mode de déplacement professionnel. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte définit de nouvelles mesures dont les entreprises encourageant l’usage du vélo peuvent bénéficier, comme l’Indemnité kilométrique Vélo, des aides financières et des réductions d’impôts.

Utilisable sans permis, facile d’utilisation, prisé de tous, Le vélo comme outil de mobilité devient un vecteur de cohésion interne et fédère employeurs et employés autour d’un projet positif et motivant.
En proposant à ses collaborateurs une alternative de mobilité, l’entreprise s’assure en retour des employés performants, dévoués et loyaux.

La mobilité professionnelle est un enjeu de santé pour les salariés et de productivité pour leurs employeurs. Les employés qui choisissent le vélo pour aller au travail vivent mieux leurs trajets et arrivent plus détendus. Ils se révèlent plus performants et moins sujets à l’absentéisme ou au mal-être sur leur lieu de travail.
Les entreprises ont tout à y gagner: des frais limités pour une démarche à forte valeur ajoutée. Le triptyque environnemental, économique et humain de la RSE est atteint!

Des économies directes: réduction des infrastructures allouées aux parkings, remplacement de la flotte automobile à moindre coût, frais d’entretien et d’utilisation limités.
Des économies indirectes: gain de temps, hausse de la motivation et de la performances des collaborateurs,
Aides financières encourageant l’utilisation du VAE
Une fiscalité avantageuse: une entreprise qui met des vélos à disposition de ses salariés pour leurs déplacements domicile – travail peut déduire 25 % des frais engagés pour l’achat et l’entretien de la flotte de vélos du montant de son impôt sur les sociétés.
Des incitations de la puissance publique: les entreprises peuvent mettre en place, de manière volontaire, une Indemnité Kilométrique Vélo de 0.25 €/km pour les salariés qui pédalent pour aller au travail. Cette prise en charge, cumulable avec le remboursement de l’abonnement de transports, est exonérée de cotisations sociales et d’impôt, dans la limite de 400 € par an.